BALLEZÉBUTS, ON A LE MÊME MAILLOT, MAIS ON A PAS LA MÊME PASSION.

BALLEZÉBUTS, ON A LE MÊME MAILLOT, MAIS ON A PAS LA MÊME PASSION.
On aurait dû jouer à six, sept évident.

jeudi 21 février 2013

BALLEZÉBUTS 3-1 DRF (1-0)



















Association de malfooteurs 


Qui sommes nous ? Qui est cette équipe de DRF ? Nos meilleurs ennemis. L'équipe contre laquelle on a le plus joué. C'est bizarre à la sortie de chaque match, on aurait presque l'impression de ne pas les avoir reconnus. 
Ce soir DEDER, qui était puni au buts, sur l'injonction du NOUF, a fait 1 arrêt. Et 4 prises de balles aériennes sur des centres. Il s'est fait remarqué tout de même. Il nous a rappelé qui nous sommes. Il a fait du ballezébutien tout seul. Notons tout de même que le ballezébutien est quelque chose qui se fait la plus grande partie du temps tout seul. Sans ça, nous n'aurions pas été nous mêmes. Bravo. 
Autre exemple de l'état d'esprit exemplaire de DEDER (juste ensuite de celui de CESC) : après le match, DEDER nous dit tranquillement que ça ne l'amusait pas de relancer trop souvent à ras de terre sur CHOUK. Il a préféré s'exercer à trouver CESC de la tête. 
Relance au pied, et relance à la main tout de même, avec la main sans gant. Ses gants le gênent pour les relances à la main, donc il a préféré opéré avec seulement un gant à sa main gauche. 
Sa présence de ce soir, nous ferait presque nourrir quelques regrets quant à son séjour en station, 15 jours auparavant, et l'avalanche d'absences qui ont servi les druides. 
En parlant de ski fâche, et cela fera l'objet d'une étude attentive de ma part, qui peut se faire concurrence à l'exemplarité de notre capitaine chéri ? C'est seulement le deuxième jeudi soir en 5 ans et demi où il n'est pas présent avec l'équipe. La première fois les adversaires déclarèrent forfait. (faut-il y voir un lien de causalité ?)
Nous apprenions en début de semaine que YANOS avait pris son forfait de remontées mécaniques. Puis 2 jours plus tard qu'il en avait pris un pour NOUF
Ils ne nous ont pas laissé orphelins. DEDER et ALAN ficelés en renfort, avec position bien définie, et speech tactique d'avant match au CESC dont on a senti qu'il ne parlait pas qu'avec son énergie à lui ce soir. 
Ce soir c'était grand soir. Au milieu de tous ces événements, le retour du prodige italien : ROMANOVITCH rafistolé à coups de milliards de patience de sa part. Bon on lui avait dit 2 mois sans rien faire du tout de rien du tout. On arrive à 1 mois et demi c'est bon ! Première course pendant l'échauffement, match engagé dans la course, et aucune douleur en sortie. Cela a-t-il joué sur le non cadrage de ses tirs ? 

Les consignes téléphonées. 
On ne change pas une composition qui gagne. DEDER aux buts, défense ALAN CHOUK, et rotation sur les 4 postes du milieu entre ROMANO, BEBEN, CESC, PAPAK et RICO toutes les 6 minutes. C'était qui le capitaine ce soir ? C'était CESC ! Yes sir ! 

La Courneuve 19h39 : coup d'envoi. 
Ils jouent en blanc ? on peut garder nos pulls ? ah ils jouent en noir. Leur gardien finit de se changer dans les vestiaires pendant que le coup d'envoi est donné. Ils étaient plus que 7, un autre joueur l'a remplacé 4 minutes. Sur les premiers moments du match, BEBEN redescend assez bas, et ALAN s'est vite retrouvé ailier, on attaque à 5. Ils ont joué avec une pointe qui restait bien 20 mètres en avant du reste de son équipe, un peu coupée. Cette pointe unique nous a un peu gêné dans le placement défensif, mais finalement se trouvait toujours dos au buts s'il recevait le ballon, et comme il ne provoquait pas énormément, attendait la montée de ses coéquipiers. À 5 devant, cela leur a mis une certaine pression, et leur milieu est resté assez bas. Cela nous a permis de récupérer des ballons assez haut. Dans cette première partie du match ils ont réussi à passer balle au pied 3, 4 fois. Par contre, ils ont pêché dans la dernière passe ou n'ont pas cadré leurs frappes. Malgré la faible marque au tableau d'affichage, nous nous sommes crées quelques occasions dans cette première mi-temps. RICO fait 2 frappes non cadrées, CESC reprend un centre de PAPAK de volée qui passe de peu à côté. ROMANO profite d'un appel de CESC au centre pour déborder son adversaire et frapper à côté en tête à tête avec le gardien. CHOUK fait une frappe de demi volée sur un corner bien boxée par le gardien. La récupération du ballon devient meilleure de notre côté avec le match qui avance. La conservation par contre non : pas meilleure mais pas mauvaise. On se projette assez vite vers l'avant, ce qui ne se fait pas non plus sans pertes de balles, mais sans conséquence. 

1-0 : Sur une récupération d'ALAN en défense, il lance PAPAK sur l'aile droite, qui se lance à son tour. Il fait un une deux avec BEBEN et pique sa balle au dessus du gardien pour ouvrir la marque. 

Changement de terrain à la mi-temps. 
À la reprise, DRF a quelques velléités de pressing, mais cela ne change pas la physionomie de la fin de la première mi-temps. Nous avons globalement plus la possession du ballon et plus d'occasions. ALAN monte moins et BEBEN joue plus haut.
2 coups de pieds arrêtés vont grandement nous aider à nous mettre à l'abri du DEDER show. Tirés du même endroit, comme un corner ouvert. 

2 touches. 2 têtes. 2 buts. 2 minutes. 

2-0 : CHOUK tire la touche, que l'on a rejoué parce qu'un des leurs refaisait ses lacets. Le ballon arrive au deuxième poteau ou PAPAK et RICO l'attendent se marquent mutuellement. C'est PAPAK qui est le premier et qui accompagne le ballon de la tête dans le but. 

3-0 : CHOUK tire la touche, que l'on a pas rejoué. Mais qu'on a décidé de joué pareil. ALAN a refait ses lacets plus tard. Et CESC aussi. Mais la touche était pour DRF sur ce coup. Bref. Le ballon, un peu plus tendu est pour le second poteau. RICO qui la voit un peu courte fait l'effort. Dans l'élan du saut en avant pour devancer son défenseur, il frappe bien la balle, croisée vers le sol. 

Ensuite, DRF se découvre plus, et met plus de pression en combinant plus au milieu ou sur les ailes, en triangle. La possession s'inverse, même si nous continuons à relancer avec DEDER, CHOUK, ALAN et BEBEN. Par contre, les passes d'enclenchement arrive moins. 

3-1 : Suite à un corner, ou une action où l'on s'est découvert, le ballon est dégagé fort, en l'air au milieu du terrain par la défense de DRF. DEDER avancé, est le premier sur le ballon. Mais au lieu de nous faire admiré sa technique il rate la balle. Leur attaquant est le plus prompt et résiste au retour de DEDER pour marquer. 

Après ce but DRF pousse un peu plus. Leur action du match, et l'arrêt de DEDER. Une construction sur l'aile gauche aboutit à un centre repris au premier poteau du plat du pied. Cela a manqué un peu de puissance pour surprendre DEDER. Ils se font plus pressant mais ne trouve pas souvent le décalage. Il y a bataille pour le ballon dans notre moitié de terrain. La fin du match, est l'occasion pour nous d'en rater quelques unes. Notamment, une frappe bien placée de RICO, près du poteau du plat du pied que le gardien va bien chercher avec sa main droite. Et une PAPAK. Il voulait tout de même sentir une pointe de je ne sais quoi qui le tourmente après le match. RICO dans la même position que sa frappe précédente voit que PAPAK est avec lui, il lui glisse la balle. Plat du pied de PAPAK, angle d'ouverture trop grand : à droite. Fin du match c'était la dernière action. 20h35. 

Un DRF que je ne connaissais pas ce soir, pour un match pas trop compliqué, qu'on a réussi à pas saborder.



vendredi 8 février 2013

DYN 75 LES DRUIDES 6-1 BALLEZÉBUTS (3-1)

La réalité dépasse l'affliction.

Nous espérions bien prendre notre revanche. Nous restions sur cette impression d'avoir été volé. Un peu de rancoeur, certainement. Et bien les conditions difficiles de ce soir, nous aurions bien voulu passer outre pour leur foutre. 
Ces conditions, bien plus réelles qu'acceptables, c'est une équipe qui ne répond pas présent, à la convocation. Une coïncidence, la faute à pas de chance. Tous absents en concert. ELYA à l'autre bout du monde, BEBEN qui pousse le bouchon, DEDER et ALAN dans le blizzard, MINIPAKI blessé pas encore à Taipei, et ROMANO pour qui son Achille tendait à le laisser rejouer s'est fait surprendre par un virus. 
Prix spécial du jury au PAPAK qui se bat pour arriver avant la fin du match, dans le genre paroxysme de la frustration. 
C'est aussi le terrain qui, dans un subjectif tendant à l'objectif, n'était pas le plus favorable qui soit dans cette infériorité numérique. Ce terrain de la Courneuve, grand dans sa mesure, et boueux dans sa présentation pelousée, nous a valu glissades, faux rebonds et essoufflements. 

Malgré cette mise en scène, notre chef montants, nous prodiguait toute sa confiance et ses bons soins. Mais aussi tout son honneur et sa passion : "on va les bouffer, ils savent pas jouer au foot !" "ouais, ouais, c'est ça, en même temps la pelouse..."

En face, Les Druides sont 6 puis 7 puis 9 puis 12 puis beaucoup. C'est le rendez-vous Courneuve 19h30 qui constitue leur défi transport. Comme pour PAPAK

Coup d'envoi. 
Quelque eût été la configuration, nous sommes restés fidèles à notre système hybride de conservation du ballon et de plantage de banderilles. Nous mettons en place notre rotation de ballon, et nous contenons leur pressing avec la participation de NOUF. Le but adverse semble loin et les occasions ne seront pas en nombre. 

0-1 : Et le scénario commence bien, nous ouvrons le score. Sur une remontée de balle aile gauche, CHOUK trouve RICO qui appelle dans la profondeur. Il lui remet après avoir creusé jusqu'à la ligne. CHOUK fait une petite passe latérale à droite sur CESCO à l'entrée de la surface. CESCO la glisse à YANOS qui s'est engagé et marque face au gardien. 
Sur cet éclairage, CESCO oblige la gardien a une claquette sur une tête. 

On tient pour l'instant, on perd vite la balle devant. Les druides tiennent un peu plus le ballon, mais ils restent brouillons en ce début de match, précipitant leur frappes et leurs centres qui ne trouvent ni le cadre ni partenaire. 

1-1 : Néanmoins, sans vouloir être fataliste, ce qui devait arriver arriva. Sur un corner, on se dégage pas très loin. CHOUK monte sur le porteur du ballon qui est dos au but. Celui- ci parvient à se retourner pour le passer d'un petit pont, et frapper ras de terre. Le ballon passe à côté de RICO, qui a masqué à NOUF le départ du tir. Il plonge et chose peu appréciable pour un gardien le ballon lui passe sous le ventre. 

2-1 : À 5, à 6, ou à 7, c'est l'heure du petit cadeau made in BALLEZÉBUTS. Sur une action anodine, c'est RICO qui se trouve à récupérer le ballon dans la surface. Mais le léger glissement de pied sur la reprise d'appui après le contrôle a laissé le temps à un joueur adverse de placer son pointu dans le ballon qui surprend NOUF

3-1 : Cette action druidienne, est partie sur leur aile gauche. RICO est au charbon pour contester la possession du ballon. Elle lui échappe, le joueur aussi par la même occasion. Il adresse un centre précis pour leur tour de contrôle, parti dans le dos de CHOUK, qui ajuste une tête tout autant précise en pleine lucarne. 

C'est la mi-temps. Nous attendons toujours PAPAK. Nous ne voulons toujours pas perdre. 

4-1 : Malheureusement, inverser le scénario du match devient compliqué. Je ne sais plus si PAPAK arrive avant ou après ce 4ème but, qui est encore une épreuve du sort contre nous. Corner, le ballon est dévié et rebondit sur la tête de CHOUK pour atterrir dans les pieds de leur joueur qui n'a plus qu'à ajuster son plat du pied. 

5-1 : Leur nouvel ailier gauche, arrivé ensuite. inscrit le 5ème but sur une action construite sur l'aile gauche. 

6-1 : Sur contre attaque leur joueur resté aux avant postes, récupère le ballon. Il contrôle en se retournant. Puis il place une frappe qui passe entre les jambes de YANOS et sur la gauche de NOUF



jeudi 7 février 2013

BZB JUNIOR / JOURNÉE 5 (REPORTÉE)

Forfaits adverses. Petit entrainement à la place. Précis. Pointu.


vendredi 1 février 2013

BALLEZÉBUTS 8-6 LGM (3-3)


















Une victoire portante.

Le vent en poupe, nous surfons sur 2 victoires consécutives après ce match.
C'est notre première victoire en 4 matchs contre LGM. Tout cela fait plaisir. Et ce qui fait plaisir également c'est la formation à 2 défenseurs qui confirme. Toute l'équipe est contente, satisfaite ? Bon CESC nous dira qu'il a eu l'impression de toucher moins de ballon que sur le match précédent, YANNOS a eu moins de repères, BEBEN a frisé le coma, RICO n'a pas corrigé sa faible participation à la conservation du ballon en équipe, NOUF va chercher la balle sortie en touche sans que les adversaires se préoccupent de savoir s'il a pu regagner ses buts, PAPAK a échangé des coups de boules, CHOUK est vert de s'être fait passé 2 fois en un contre un pour 2 buts et MINIPAKI s'est claqué le mollet, comme un départ anticipé vers Taipei. 
Vous ne me croyez pas, je reformule. CESC a marqué son premier but de la saison, YANNOS a délivré quantité de centres et de passes, BEBEN n'a pas fini le match en disant qu'il avait l'impression de n'avoir rien fait, au contraire il suppliât NOUF de le laisser prendre la place de gardien de but. RICO a investi le centre du terrain pour faire le lien entre la relance et l'attaque. NOUF et PAPAK n'ont jamais aussi bien combiné, pour nous offrir un magnifique cinquième but, que lorsqu'ils jouaient ensemble à l'avant. CHOUK a bien profité d'avoir de l'espace. Et MINIPAKI s'est claqué le mollet. 

Bobigny 19h30. 
Bobigny, c'est un terrain plus petit que Créteil, c'est un bon point pour notre physique plus modeste que le leur. 
19h30, c'est tôt, parfois les équipes ne sont pas au complet au coup d'envoi. Ce soir on avait un remplaçant, ce qui nous a été utile du fait de la blessure de MINIPAKI. Nos adversaires contrairement au match aller n'avaient pas de remplaçants. 2 petits avantages dont n'avait pas besoin notre motivation de ce soir ? 

La formation. 
Capitain' NOUF nous donne le programme, Défense à 2 CHOUK - YANNOS et NOUF dans les buts qui ne bougeront pas du match. Milieu à 3 RICO à gauche BEBEN au centre MINIPAKI puis CESC à droite et PAPAK en pointe. Rotation à 5 sur les 4 postes de devant. Jusqu'à Taipei.

Coup d'envoi ! 
LGM nous donne le ballon. dès lors nous tâchons de le conserver. C que nous arrivons plutôt bien à mettre en place. La partie s'équilibre. Nous nous procurons les premières occasions. 

0-1: Ils ouvrent la marque sur une attaque placée, mi contre attaque, leur attaquant en s'emmêlant un peu les pinceaux élimine 2 défenseurs et bat NOUF d'une frappe croisée ras de terre. 

1-1 : MINIPAKI récupère le ballon au milieu de terrain, se lance en se décalant sur la droite et frappe en force pour égaliser. 

Peu de temps après MINIPAKI sort donc sur claquage de mimolette. 
Cela ne nous affecte pas trop, la sortie prématurée de notre star internationale taïwanaise ne va pas nous empêcher de prendre le large. 

2-1 : Depuis le trident arrière YANOS, NOUF, CHOUK le ballon tourne bien. RICO se démarque bien au milieu du terrain. CHOUK lui transmet la balle. RICO se retourne et transmet dans la profondeur pour PAPAK. Ce dernier est plus prompt que le gardien et lui glisse la balle entre les jambes. 

3-1: Sur un des nombreux corners que nous avons obtenus, de la gauche, frappé par CESC, le ballon est dévié jusqu'à YANOS au second poteau qui écrase un peu une frappe que PAPAK, se trouvant sur la trajectoire, pousse du plat du pied dans le but. 

3-2 : Tout semble aller pour le mieux, mais le mieux est l'ennemi du bien. NOUF dans sa générosité fameuse, va chercher un ballon sorti en touche, bien que le remise en jeu soit à la faveur de LGM. À peine se retourne-t-il vers le jeu, une fois ses buts regagnés, que la ballon passe entre lui et le poteau d'un pointu. Séquence énervement. Stupeur générale. Personne ne comprend pourquoi c'était déjà reparti. Bref passons à autre chose. Ils font la sourde oreille. 

3-3 : Passons à autre chose mais pas tout de suite quand même. NOUF décide d'une relance ouverture, ratée. Interception d'un joueur adverse qui s'avance et tire de loin. NOUF n'avait pas le coeur à tenter un arrêt. 

Mi-temps. Comme généralement dans ces moments là, tentative de réanimation du NOUF intransigeant. Sans jamais savoir si cela sera efficace et quelle technique est la meilleure. 

4-3 : Nous reprenons sur les mêmes bases. Cela n'a pas affecter notre nouveau credo. Et le premier but de cette seconde période ne se fait pas attendre, sur le même schéma de RICO en relais au milieu de terrain qui donne la passe décisive à PAPAK qui frappe croisé petit filet. 
BEBEN, encore frais et transpirant, se libère bien au milieu de terrain pour se retourner et enchaîner une frappe cadrée que le gardien claque en corner. 
CESCO sur un ballon cafouillé sur un corner oblige aussi le gardien à une claquette sur une demi volée en pivot. 

5-3 : L'enfonçage de clou. Relance rapide et longue de NOUF sur PAPAK un peu excentré et les buts dans son dos il est démarqué. Pas de questions, il se couche et pivote pour reprendre le ballon de volée du droit. Le gardien effleure le ballon qui rentre dans le but après avoir heurté le poteau. Magnifique. PAPAK sprinte finalement plus après le but pour aller voir NOUF qui sprinte aussi. Ce sont les puces qui le disent. 
LGM manque de répliquer sur un corner suivant. Leur joueur démarqué écrase sa reprise devant les buts, qui rebondit pour passer au dessus de la bar transversale. 

6-3 : Plutôt qu'ils ne profitent du début de notre baisse de régime, nous continuons à marquer. CHOUK hérite du ballon sur le flanc gauche à hauteur du milieu de terrain, s'étant affranchi du pressing adverse avec NOUF et YANOS. Il adresse un centre entre la défense et le gardien. CESCO plonge et place une tête croisée petit filet. Tout aussi magnifique. 
Nous commençons à montrer quelques failles. NOUF stoppe une frappe d'un joueur qui se présentait en angle fermé. Sur des coups de pieds arrêtés, ils arrivent à placer leur tête. 

6-4 : Sur une perte de balle, ils font mouche sur une contre attaque et réduisent la marque. Leur joueur trompe NOUF d'une frappe croisée après un une-deux. 

7-4 : Nous ne nous recroquevillons pas pour autant sur nos buts et nous continuons d'aller vers l'avant et de tenir le ballon. PAPAK reçoit le ballon dans un appel en profondeur, au coude à coude avec son défenseur, il place un extérieur du droit pour crocheter son adversaire direct. Au lieu de se décaler de son adversaire, le ballon est envoyé direct dans le petit filet opposé de son propre but par son intérieur de pied. 

8-4 : Avec encore un peu de réussite, on se donne encore un peu plus de marge. Un peu la même configuration que sur la tête plongeante de CESCO, CHOUK centre du flanc gauche. Mais c'est le manque de précision de son centre qui va faire mouche. Le gardien adverse ne sort pas intercepter le ballon car CESCO menace de reproduire son forfait. CESCO ne peut finalement pas toucher le ballon non plus, qui file tout droit dans le but sans que personne ne le touche. 

8-5 : Nous posons moins le pied sur le ballon, nous relâchons un peu notre emprise et nos marquages. Résultat avec leur poussée pour revenir au score de fin de match, sur une touche ils réduisent le score. Elle est tirée de l'aile droite, avec un effet rentrant. Le ballon passe le premier poteau, elle tourne bien entre NOUF et CHOUK, ni l'un ni l'autre attaquant le ballon, c'est l'attaquant qui parti dans le dos de CHOUK se l'emmène. En ratant sa tête, le ballon retombe dans ses pieds et il n'a plus qu'à rentrer dans le but. 
Sur une autre balle au second poteau de la gauche, c'est PAPAK qui a fait don de sa mâchoire dans un choc au ballon avec l'attaquant. Cela l'a empêché de cadrer. 

8-6 : Le match s'emballe un peu plus. Des relances rapides pour profiter des espaces qu'ils laissent en se découvrant plus, font que nous leur rendons le ballon un peu plus. Il y a du KO dans l'air. Ils sont plus haut sur le terrain, nous perdons un peu plus le ballon dans la construction. Nous sommes tout de même parvenus à continuer à le faire tourner derrière. Mais sur une action un peu chaude à plusieurs temps de jeu, nous nous dégageons sur RICO, qui se retrouve vite entouré par 3 joueurs. Ils récupèrent la ballon et envoie un de leur attaquant qui met 2 joueurs dans le vent en crochetant à tout va. CHOUK passé, il ajuste sa frappe qui se loge dans la lucarne gauche de NOUF. Ils maintiennent la pression, mais il ne reste que la dernière action à jouer. 
Pour l'honneur les 2 équipes veulent marquer un but supplémentaire. Personne n'y parviendra. 

C'est la fin d'un match plaisant contre des adversaires avec un bon état d'esprit si l'on occulte leur second but. La victoire au bout, c'est toujours plus agréable. On peut retenir, que l'animation offensive dans ce système n'a pas souffert de l'absence de MINIPAKI. Ce qui est en parti apporté par le surnombre plus grand lié à la présence des 4 joueurs qui évoluent avancés et contre 3 auparavant. 
Notre générosité avec l'adversaire n'a pas de limite. Ou pas encore. 
Et soit le résultat du match, soit notre condition physique, ou les 2 continuent de nous rendre fébriles sur les fins de match. 
L'état d'esprit et la motivation étaient là. 



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