Ne pas être pour une fois les dindons de la farce.
Ça fait plaisir.
Le résultat pour une fois se mêle au jeudi soir.
Il donne une saveur plus douce, à la compagnie des potes, Alan, qui a laissé un genou au hand mardi soir, est venu divertir Nouf dans ses buts, et Cesc, dont la disponibilité au pied levé a fait la différence, et remercié par un collectif plutôt rigoureux.
Au partage d'un moment de félicité.
Au froid.
Au gouffre toujours plus grand qui se crée avec les autres équipes et leur interprétation de l'auto ou du loto arbitrage : pénalty ! non. Il y avait touche ! ce n'est pas cette ligne là. Main ! tu rêves. Pas de tacle ! c'est pas un tacle ça tu veux que je te montre ce que c'est un tacle.
Le tout dans un brouhaha constant. Jouer en plein air comme si c'était dans un hall de gare, à en lasser ses propres partenaires.
Qu'il serait bon que ces dernières lignes deviennent moins fournies.
2 commentaires:
Ça fait plaisir, oualla ! Le loto-arbitrage, pas mal. Ça fait un argument en plus, merci du coup de pied. On continue. On s'arrête plus. De perdre. De gagner. De jouer. De déjouer. De manger. De se faire manger. De manger. Surtout de prendre un dessert. Et une verveine, pas celle que vous croyez, merci Pierrot !
Moi j'ai pris du plaisir, surtout de vous retrouver les gars
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