Haute en contraste. Entre les échauffourées, le résultat en jouant à un de moins et l'ambiance ce soir. Tout était là, tout.
Fin du cycle La Courneuve et retour sur le stabilisé, sec ce soir de l'île de Puteaux.
YANNOS et TUSH en renfort sont là pour nous soutenir ce soir, non sans démangeaisons dans les orteils. Par contre TITI a du déclarer forfait, à cause d'une épidémie familiale. ALEX n'ayant pas son portable sur lui, nous dûmes jouer ce match à 6 contre 7.
Le 6 :
PAPAK CHOUK
RICO BEN CESC
NOUF
Notre jeu pendant le match, ne restera pas dans les exemples de construction. Le mot d'ordre était simple NOUF gardien, la défense tient et on balance devant, PAPAK et CHOUK font ce qu'ils peuvent.RICO BEN CESC
NOUF
1-0 A ce petit jeu là on a presque tiré notre épingle du jeu, on ouvre la marque sur un 6 mètres de NOUF. Son dégagement arrive direct dans la surface adverse. Un de leur défenseur prend la tête, mais il relance le ballon à l'entrée dans l'axe, où se pointe RICO, qui nous crédite d'une volée du gauche un peu cafouillée qui prend le gardien à contre pied et rentre dans le but après un rebond.
1-1 A 5 minutes de la fin du match, on cède sur une action solo, d'un de leur milieu qui reçoit la balle sur leur flanc gauche, qui accélère, se lançant pour frapper. Son tir est puissant et rebondit plein poteau rentrant.
Nous ne sommes pas passés loin d'un petit exploit ce soir. On a eu un peu chaud quand même, ils ont du toucher 2 ou 3 fois les montants. On a fait preuve d'un certaine solidité défensive, et NOUF dans les buts nous a offert quelques belles parades, oubliant qu'il plongeait sur un terrain stabilisé.
Ce match fut empreint d'une certaine tension, l'arbitrage n'a pas toujours concordé, sur fond de dissensions à propos du règlement. Quelques frictions post-match sans conséquence.
Soulignons la cohésion de l'équipe ce soir, avec l'objectif de tenir pendant ce match, et la réunion orale autour de notre performance. Je suis rentré apaisé ce soir.
Le débat sur le côté provoque de BEN est ouvert. Sur celui de CESC, je pense qu'il ne s'ouvrira jamais...
Je ne suis pas prêt d'oublier ce moment.